Nouvelle recette spéciale fête sur le blog aujourd’hui, où je vous partage une recette de fromage végétal !
Cette année, j’ai décidé de faire un menu de Noël à l’envers, la semaine dernière je vous ai dévoilé mon Carrot Cake et la semaine prochain ce sera le plat !
Il était donc temps d’en faire une nouvelle non ? :)
Ici il s’agit d’une boule de fromage vegan, à faire « prendre » au frigo pendant 1 nuit minimum et la décorer ensuite de cranberry et de noix de Grenoble.
Plus vous laisserez le fromage se faire au frigo, plus il aura de goût.
Si vous ne souhaitez pas utiliser de noix de cajou, vous pouvez les remplacer par des amandes ou des noix de macadamia.
Ce petit fromage sera idéal sur vos tables de fête soit à l’apéro soit pour terminer le repas.
Recette de la Boule de fromage vegan
Ingrédients pour 1 boule
100 g de noix de cajou (trempées 1 nuit)
1 +1/2 c. à soupe de vinaigre de cidre
2 c. à soupe de levure maltée
1 + 1/2 c. à soupe de miso blond
1 c. à café d’herbes de Provence
1 gousse d’ail (ou 1 c. à café d’ail en poudre)
1 + 1/2 c. à soupe d’huile de coco désodorisée
Pour le dessus :
3 noix de Grenoble
20 cranberries séchées
Préparation :
Mixer tous les ingrédients du fromage dans un blender. Si ça ne mixe pas assez bien ajouter à peine d’eau.
Prendre un petit bol et mettre une feuille de papier transparent ou un linge spécial cuisine.
Verser la préparation dedans et former une boule bien serrée avant de refermer avec une pince à linge.
Mettre au frigo toute une nuit minimum.
Démouler le fromage et enrober de noix concassées et de cranberries séchées.
Pour changer un peu des classiques bûches de Noël, je voulais vous proposer un Carrot Cake Vegan de Noël, avec des épices et des fruits secs de saison.
C’est la première fois que je fais un Carrot Cake Vegan ou non, et j’avais déjà goûté aux États-Unis mais également chez Hank Burger où ils proposent un Carrot Cake de folie !
Beaucoup plus simple à faire qu’une bûche, c’est un gâteau assez léger pour terminer le repas ou déguster au petit-déjeuner ou au goûter avec un bon chocolat chaud végétal ;-)
J’ai réalisé un glaçage très simple pour mettre sur le dessus à base de crème de coco mais si vous trouvez de la cream cheese vegan, vous pouvez l’utiliser en remplacement du lait coco.
J’ai utilisé de l’huile de coco désodorisée mais si vous préférez utiliser une autre huile végétale neutre ou non c’est possible également.
J’ai utilisé un moule à cake de 30 cm, ça fait un Carrot Cake assez plat mais du coup très croustillant à l’extérieur et très mœlleux à l’intérieur.
Si vous utilisez un moule plus petit pour avoir un carrot cake plus haut, laissez cuire un peu plus longtemps et vérifiez bien la cuisson avant de retirer du four.
Carrot Cake Vegan de Noël
Ingrédients pour 1 cake
220 g de farine à pâtisserie
75 g de sucre complet
70 g d’huile de coco
220 g de carottes
60 ml de boisson végétale (ici soja)
1 sachet de levure chimique
1/2 c. à café de cannelle en poudre
1 c. à soupe de vinaigre de cidre
Glaçage :
La partie dure d’1 boite de lait coco (mise en frigo la veille)
3 c. à soupe de sucre
2 c. à soupe de jus de citron
Cranberries et oléagineux au choix (ici noisettes)
Préparation :
Préchauffer le four à 180°C (T6)
Éplucher et râper les carottes.
Préparer le glaçage : ouvrir la boite de lait coco et prendre uniquement la crème sur le dessus. La mettre dans saladier, ajouter le sucre et le jus de citron puis fouetter à l’aide d’un fouet manuelle ou électrique. Faire monter comme une chantilly puis conserver au frigo. Elle doit avoir la consistance comme sur la photo ci-dessous.
Dans un autre saladier mettre tous les ingrédients solides et mélanger.
Ajouter les carottes râpées.
Faire fondre l’huile de coco et l’ajouter au saladier avec la boisson végétale et le vinaigre de cidre.
Mélanger bien pour obtenir une pâte très consistante.
Verser la pâte dans un moule à cake et enfourner 45 à 50 minutes (vérifier la cuisson en plantant un couteau).
Laisser refroidir le carrot cake puis déposer le glaçage sur le dessus au moment de servir (sinon il va fondre), ajouter les cranberries et oléagineux. Il est meilleur tiède avec le glaçage bien frais.
Je vous donne rendez-vous dimanche prochain pour une nouvelle recette de Noël et je vous informe également que je participe au Calendrier de l’Avent organisé par Échos Verts et Déliacious.
La patate douce fait partie des légumes que je cuisine et achète très régulièrement. Habitant dans le Sud de la France, mon petit producteur local la cultive et on est en ce moment dans la saison.
Mais comment cuisiner la patate douce ?
Quels sont les différents modes de cuisson possibles ?
Comment accommoder son goût sucré ?
Je vais vous livrer 7 recettes à base de patates douces pour que vous testiez ce légume sous toutes ces coutures, avec des modes de cuisson et des épices différentes.
Et vous verrez, c’est un légume totalement différent d’une préparation à l’autre, que ce soit la texture ou le goût.
Mais avant de commencer, voyons pourquoi il faut consommer de la patate douce.
Elle contient des nutriments et des vitamines très intéressantes comme la pro-vitamine A, du bêta carotène mais aussi des vitamines C, B6 et B9, ainsi que du cuivre et de la manganèse.
C’est une excellente source de potassium et elle contient de nombreux anti-oxydants.
La patate douce est donc un aliment incontournable dans un régime végétalien.
Il y a différentes méthodes de cuisson.
Il faut compter 15 à 20 minutes dans l’eau bouillante, 40 minutes à 1h au four, 5 minutes à l’auto-cuiseur, 10 minutes sautées à la poêle, 10 minutes au cuit-vapeur.
Au niveau de la couleur, on connait surtout la patate douce orange, mais leur chair peut-être blanche, jaune et même violette.
Commençons par la recette la plus simple pour cuire ses patates douces.
Patates douces rôties au four
Quand vous n’avez pas envie de vous prendre la tête ou que vous avez simplement besoin de la chair des patates douces, voici le mode de cuisson le plus simple, qui fait ressortir le goût sucré de la patate douce.
Vous pouvez faire cette recette : avec ou sans huile, avec ou sans épice, en version sucrée ou salée.
Ingrédients pour 2 patates douces au four :
2 patates douces
1 c. à soupe d’huile végétale (olive, coco, sésame, noisette …)
1 c. à café d’épices au choix (chili, cannelle, paprika, cumin … )
Sel
Préparation :
Préchauffer le four à T7 (210°C)
Laver les patate douces et les couper en 2, quadriller le dessus à l’aide d’un couteau
Les déposer dans un plat allant au four et déposer sur chaque face l’huile et les épices désirées.
Enfourner 25 à 35 minutes selon la taille des patates.
Pour vérifier la cuisson, planter un couteau.
Astuce :
Cette recette vous servira pour la recette de brownie en bas de page (opter pour l’huile de coco et l’épice cannelle).
Soupe épicée à la patate douce
Une recette toute simple de soupe épicée qui réchauffe les soirs d’automne et d’hiver. Et qui change des soupes « à la française ».
Son petit côté sucré risque de surprendre.
Ingrédients pour 4 personnes :
500 g de patates douces
1 oignon
1 pincée de piment fort
1/2 c. à café des épices suivantes : coriandre, cumin, paprika, ail en poudre
75 cl d’eau
Sel, poivre
Un peu de crème végétale (option)
Graines de courges
Huile d’olive
Préparation (10 min) & Cuisson (35 min)
Éplucher et émincer l’oignon
Éplucher la patate douce et la couper en morceaux
Faire revenir l’oignon dans une casserole avec de l’huile quelques minutes pour le faire dorer
Ajouter les cubes de patates douces, les épices, le sel et le poivre.
Faire dorer encore 5 minutes
Ajouter l’eau et laisser cuire minimum 30 minutes
Une fois cuit, mixer dans la casserole à l’aide d’un mixeur plongeur
Servir dans un bol, ajouter un peu de crème végétale et des graines de courge
Astuce :
Pour faire une purée de patate douce au lieu d’une soupe, mettez seulement 20 cl d’eau puis ajuster la consistance avec de la crème végétale.
Frites de patates douces
Les frites de patates douces sont une alternative idéale aux frites traditionnelles !
Certaines personnes ne sont pas fans car elles peuvent rester un peu molle à la cuisson mais tout dépend de la manière dont vous les préparer et de la puissance du four.
Et bien oui, je suis assez fan des légumes dans les desserts. Comme j’ai déjà pu faire un gâteau chocolat-courgette, je vous propose ici un brownie à la patate douce.
La texture est vraiment top et le goût très subtile.
Ingrédients pour 1 gâteau :
250 g de chair de patate douce cuite au four (environ 450g cru)
100 g de farine au choix
30 g de poudre d’amande
200 g de chocolat noir
60 g d’huile de coco
20 g de graines de chia + 90 ml d’eau (œufs de chia)
50 g de sucre complet
2 c. à soupe de sirop d’agave
Préparation :
Préchauffer le four à 180° (T6).
Cuire vos patates douces si elles ne sont pas déjà cuite (environ 30 minutes si vous les coupez en 2)
Dans un petit contenant préparer les œufs de chia : mettre 20 g de graines + 90 ml d’eau et laisser au frigo quelques minutes
Faire fondre le chocolat noir avec l’huile de coco au bain marie.
Quand les patates douces sont cuites, récupérer la chair et l’écraser à la fourchette pour obtenir une purée.
Ajouter le chocolat fondu et l’huile de coco + les « oeufs de chia »
Mélanger bien puis ajouter le reste des ingrédients et mélanger jusqu’à obtenir une pâte homogène et pas trop collante. Si votre pâte est trop collante, ajouter un peu de farine.
Verser la pâte dans un moule allant au four et enfourner à T6 25 minutes environ.
Une fois cuit, sortir le brownie de patate douce du four et le laisser refroidir.
Et voilà, en espérant que ces 7 recettes de patates douces vous auront inspiré !
Et vous, quelle est votre recette préférée à base de ce légume ?
La rentrée arrive et c’est donc le moment de s’organiser pour gérer au mieux tout le stress, faire tout ce qu’on a à faire et surtout avoir du temps pour continuer à manger bien avec ces 8 recettes végétales pour toute la famille.
En général on a tellement de choses à mener de front à cette période de l’année qu’on se sent vite débordé non ?
Notre corps s’est reposé pendant l’été mais il ressent très vite le changement de rythme, le stress, la précipitation.
Surtout que la chaleur est encore bien pesante ! On est loin des temps de rentrée avec la pluie et les 10°C de moins d’un coup !
C’est aussi la période où on doit décider de l’orientation à donner à notre année.
Est-ce qu’on va trouver une nouvelle activité qui nous tente depuis longtemps ?
Est-ce qu’on va se remettre au sport ? Ou continuer ce qu’on faisait l’an dernier ?
Est-ce qu’on va changer le contenu de nos assiettes ? Est-ce qu’on va opter pour une alimentation plus végétale ? Du fait-maison ?
Est-ce qu’on va enfin trouver le temps de faire tout ce qu’on rêve de faire ?
Pour cette rentrée, j’ai accueilli un nouveau membre dans la famille, un adorable petit bouli et je peux déjà dire que ça a radicalement changé ma vie.
Plus le même rythme, de nouvelles habitudes à prendre, beaucoup moins de temps pour « moi » et beaucoup, beaucoup, beaucoup plus pour lui ;-)
Du coup, je me dois d’être 2 fois ou plutôt 10 fois plus organisée qu’avant ! Sinon mes repas vont vite devenir des pâtes à la sauce tomate tous les soirs haha.
Les plats de la rentrée doivent être : bons et savoureux pour qu’on passe un bon moment à table, rapides à préparer ou à réchauffer le jour J !
On a aussi besoin d’idées pour nos lunchbox du midi, pour qu’elles soient le plus pratique et nourrissante possible pour avoir de l’énergie toute la journée.
Et qui n’a pas envie de petites douceurs toutes prêtes, pour pouvoir se faire un petit casse-dalle en rentrant du boulot / de l’école ?
Je voulais donc vous proposer mes 8 recettes végétales chouchoutes pour une rentrée 100% vegan du petit-déjeuner au dîner !
Un petit-déjeuner vitalisant
Je ne prends pas de petit-déjeuner tous les jours. En général, je n’ai pas vraiment faim avant 10-11h et je préfère manger du salé plutôt que du sucré.
Mais pour ceux d’entre vous qui veulent un petit-déjeuner qui vous donne du peps pour la journée, Lorelei est assez fan des Breakfast Bowl.
Ça peut prendre plusieurs formes mais les bases sont :
1 ou plusieurs fruits – en ce moment pour nous ça sera les figues qui arrivent, ou encore les abricots et les prunes du marché mais après selon les saisons ça sera des kiwis (comme sur la photo), des agrumes, des bananes, des mangues, des fruits rouges, du raisin…
Un muesli au choix (nature, fruits, chocolat) ou du granola
1 yaourt au choix (soja, coco, amande, …)
Graines de chia, fruits secs, noix de cajou ou autre oléagineux
Et il suffit de mettre tous ces ingrédients dans un bol et de déguster bien frais.
Falafels originales
Un petit apéro, une entrée ou une recette idéale pour mettre dans la lunchbox avec des crudités ou un féculent : les falafels.
On peut les faire de manière traditionnelle avec des pois chiches mais on peut aussi s’amuser à en faire avec d’autres légumineuses comme les lentilles corail.
Ingrédients pour 10 falafels :
100 g de lentilles corail
25 g de farine de pois chiche
1/2 c. à café de chacune de ces épices : cumin, piment doux, ail en poudre
2 c. à soupe de purée de tahini
Huile végétale (cuisson)
Sel et poivre
Préparation :
Cuire les lentilles corail à couvert pendant environ 10 minutes.
Égoutter puis mettre dans un saladier et mélanger avec tous les autres ingrédients.
Formez des boules, si c’est trop liquide, ajouter de la farine.
Dans une poêle avec un fond d’huile et bien chaude, faites dorer les boules.
Servir chaud ou froid avec une sauce au choix.
Une soupe été indien
Bon ok là il fait un peu chaud mais quand les températures commenceront à descendre on sera bien content d’avoir une petite soupe été/automne (ou sinon ben on la mange froide en mode gazpascho)
Le mois de septembre est le mois idéal pour profiter encore des légumes d’été tout en ajoutant peu à peu ceux d’automne et du coup on peut faire des soupes aux goûts originaux comme ici où je mélange les tomates avec le potimarron.
En général j’adore accompagner mes soupes de tartines, que je fais selon l’inspiration, les légumes du moment, un fromage frais, une tartinade… Bref un petit repas léger et rapide le soir :)
Un Gyoza bowl que j’adore me faire quand j’ai envie de saveurs asiatiques et d’une cuisson rapide.
On peut utiliser des gyoza vegan que l’on trouve en magasin asiatique ou en supermarché ou si on est motivé, on peut les faire soi-même, je mets le lien de ma recette dans les ingrédients.
Pour la sauce, on peut les accompagner d’une sauce gyoza ou d’une sauce sweet chili.
1 c. à soupe de mélange d’épices thaï (gingembre, graines de sésame, sel, paprika, ail, citronnelle, cumin, piment doux, curry)
1 c. à soupe de tamari
le jus d’1/2 citron
2 c. à soupe de Miso blond
Huile (cuisson)
Préparation :
Couper les gombo en rondelles, couper les champignons en tranches et les faire revenir dans une poêle avec de l’huile
Couper le tofu en cube et l’ajouter à la poêle
Faire griller quelques minutes
Ajouter l’eau, les épices, le tamari et le miso blond
Laisser cuire 10 minutes environ
Ajouter les vermicelles de riz et les gyozas
Mettre le couvercle et cuire encore 3 minutes à feu doux
Servir et ajouter le jus de citron et les brins de ciboulette
Les nuggets de pois chiches
La recette chouchou des enfants (et des grands enfants) !
Si vous cherchez une alternative aux nuggets du commerce, cette recette est super simple à préparer, il y a juste à mixer tous les ingrédients et cuire les boulettes à la poêle.
En plus vous allez découvrir la sauce Thousand Island, une de mes sauces préférées, qui pourra vous servir dans des salades, des burgers, avec des frites, bref, partout :)
On peut préparer à l’avance la pâte, la conserver au frigo et cuire les crêpes au dernier moment puis les servir avec tous les goûts qu’on veut !
Vous pouvez même faire toutes les crêpes à l’avance et les manger froides ou les réchauffer 1 minute avant de servir.
Ici je vous donne une recette de pâte à crêpes moelleuse, dans lesquelles j’ai mis du « nutella vegan » et de l’orange mais vous pouvez bien sûr adapter selon vos goûts ou avec les fruits actuellement de saison chez vous :)
Ingrédients pour 6 crêpes
150 g de farine (ici T45 pâtissière)
30 g de sucre
1 c. à café de levure chimique
40 g de margarine fondue
325 ml de boisson végétale
1 pincée de sel
100 g de chocolat noir
1 orange (ou n’importe quel autre fruit de saison)
1 c. à café de pâte de noisettes (option)
Préparation :
Mélanger tous les ingrédients secs dans un saladier à l’aide d’un fouet.
Faire fondre la margarine.
Ajouter tous les ingrédients humides (margarine, boisson végétale) et mélanger à nouveau à l’aide d’un fouet jusqu’à obtenir une pâte homogène et sans grumeau.
Si le mélange vous parait trop épais, ajouter un peu de lait
Laisser reposer la pâte une dizaine de minutes.
Pendant ce temps, faire des zestes avec l’orange puis utiliser 1/2 orange pour faire un jus.
Couper l’autre moitié en tranches.
Faire fondre le chocolat dans une casserole avec le jus d’orange. Une fois que le chocolat est bien lisse, retirer du feu et ajouter la pâte de noisettes pour un goût plus gourmand (option).
Chauffer une poêle à crêpe et faire fondre la margarine. Déposer une louche de pâte dans la poêle bien chaude, la crêpe doit être assez fine. Laisser cuire environ 1-2 min puis retourner et cuire encore 2 minutes.
Servir et déposer le chocolat à l’intérieur, plier les crêpes en triangle et ajouter les zestes d’orange et les tranches.
https://www.veganfreestyle.com/wp-content/uploads/2019/08/Crepes_vegan.png531534Edelweisshttps://www.veganfreestyle.com/wp-content/uploads/2019/02/New-Logo-vf-700.pngEdelweiss2019-09-01 16:46:412022-09-30 13:43:548 recettes végétales pour la rentrée
4 ans de partage, de recettes végétales, de réflexions sur le mode de vie vegan et bien plus encore …
Et surtout plus de 4 ans de véganisme à mon compteur ;-)
Le moment idéal pour faire un petit article bilan sur ces 10 choses que j’aurais aimé savoir avant de devenir vegan !
Parce qu’on voit beaucoup de bullshit dites sur le véganisme, alors peut-être que cela va vous aider à dé-dramatiser, à sauter le pas ou à le voir autrement.
Après cela reste mon expérience, ce n’est en aucun cas parole d’évangile ;-)
Chacun a bien évidemment sa propre expérience et son propre chemin.
Je suis devenue vegan après un long cheminement plus au moins conscient.
Il y a deux ans je vous aurais dit que j’aurais voulu que ce soit plus rapide, mais en fait avec le recul, je pense maintenant qu’il faut laisser le temps au temps car ça nous laisse la possibilité de voir où on va et pourquoi on fait cela.
Il ne faut pas aborder le véganisme comme un truc à la mode ou un nouveau régime.
C’est vraiment un changement profond de lifestyle, avec tout un processus qui se fait.
Au début on ne se rend pas compte mais plein de choses autour de nous vont changer.
Si au niveau alimentaire, c’est plutôt simple … ce n’est pas si simple au niveau social.
Devenir vegan c’est remettre en question sa culture, son éducation mais ça peut aussi être politique, écologique, militant.
C’est l’empathie à son paroxysme. C’est même remettre en question sa spiritualité pour certains…. Le véganisme est une convergence des luttes à laquelle on ne s’attend pas forcément au départ.
Il existe 1001 raisons de devenir vegan mais il existe également 1001 excuses que l’on se trouve pour ne pas l’être.
Changer ses habitudes, sa façon de voir les choses ne se fait pas en une nuit… Quoique certains le font après avoir vu au hasard :
Earthlings
Cowspiracy (disponible sur Netflix)
What the Health (disponible sur Netflix)
Forks over knives (disponible sur Netflix)
ou « Le plus grand discours de votre vie » de Garowsky
Mais après, le reste-t-il vraiment ? Un électrochoc peut aider pour démarrer mais ensuite il faudra changer en profondeur, car on sait à quel point l’humain peut être soit dans le déni, soit résiliant (mais je vous parle de tout ça un peu plus loin…)
Dans cet article bilan « 4 ans de véganisme », je vais partager toutes ces choses qui auraient fait que je serais devenue vegan plutôt si j’avais su…
Tout en sachant que devenir vegan il y a 4 ans et devenir vegan aujourd’hui sont deux choses très différentes tellement les choses ont changé et évolué rapidement !! (dans le bon sens pour une fois ;-))
Et si vous me lisez et que vous êtes vegan depuis 10 ans, vous avez sûrement une expérience encore plus différente de la mienne !
1. Il ne faut pas avoir peur de tout remettre en question
Ce n’est jamais quelque chose qui m’a fait peur car je ne fais pas partie des gens qui pensent avoir toujours raison, savoir la meilleure manière de faire ceci ou cela.
Au contraire, j’aime apprendre chaque jour, j’aime challenger mes certitudes et tout remettre en question au fur et à mesure de mon évolution.
D’ailleurs, la « vegan » que je suis aujourd’hui est à mille lieux de la « vegan » que j’étais en 2015 !
Ce qu’on peut dire après 4 ans, c’est qu’être vegan a changé ma façon de manger, mon rapport à la nourriture, mon rapport à la vie, mon rapport à l’écologie, mon rapport à l’être humain … à tout … en fait.
Ça t’apprend au fond à savoir dans quel monde tu vis pour ne plus le subir.
Une chose est sûre, être vegan c’est être conscient, actif, réfléchi, ne jamais gober sans une once de réflexion ce qu’on vous dit à la télé, dans les médias, sur internet sans faire vous même vos recherches et votre propre réflexion.
C’est être constamment en alerte.
Le monde tu ne peux pas le changer, mais ce que tu peux changer c’est ta façon de voir les choses et d’agir.
Après le véganisme peut ne pas correspondre à toutes les personnalités.
Si (comme moi) vous êtes un scanneur capable d’ingurgiter beaucoup d’infos en quelques semaines seulement, alors allez-y, foncez !
Si vous êtes plutôt à ne pas vouloir vous prendre le chou, à avoir d’autres priorités, à ne pas trop vous poser de questions, à avoir peur du conflit, alors optez peut-être simplement pour une alimentation la plus végétale possible et prenez votre temps pour le reste.
2. Il n’y a pas besoin d’être expert en nutrition et il ne faut pas croire au mythe des carences
Je pensais qu’il fallait être expert en nutrition alors qu’on se rend vite compte que la plupart du temps les nutritionnistes n’y connaissent rien … et répètent ce qu’ils ont appris dans leurs cours mais ce n’est pas adapté à nos besoins en tant que végétalien.
Ce n’est pas leur faute, c’est malheureusement la formation en France qui est comme ça.
Pour être calé en végétalisme, il faut se former à l’étranger.
Du coup par la force des choses, on reprend le contrôle sur notre corps, on apprend et on devient nous même des « experts en nutrition ».
Au départ, je pensais qu’il fallait manger des céréales et des légumineuses à tous les repas.
Mais je me suis vite rendue compte que c’était trop riche et trop lourd à digérer, les légumineuses sont importantes mais les besoins varient selon notre activité.
Au début je voulais tout calculer, limite chaque nutriment à chaque repas, j’avais peur de manquer de fer, de protéine, de calcium … Bref je cherchais des équivalences partout.
Mais après de nombreuses lectures et recherches sur l’alimentation végétale et physiologique, j’ai compris que si je mangeais de tout à ma faim et en écoutant mes sensations, je n’avais aucune crainte à avoir.
Chose qui est assez difficile avec toutes les injonctions alimentaires qui existent mais pas impossible !
On nous fait croire qu’on doit suivre des programmes alors qu’instinctivement notre corps est tout à fait capable de se gérer, il n’y avait aucune raison de se prendre la tête avec des calculs savants.
La seule chose à faire est de se supplémenter en B12 et de ne surtout pas attendre ! Si vous êtes inquiets, faire une prise de sang et analyse urinaire (indispensable pour la B12) une fois par an ou quand on a un coup de mou.
Mais rien de différent de lorsqu’on était « omni ».
On n’a pas plus de chance d’avoir des carences en étant vegan qu’en était omni, bien au contraire même car on fait beaucoup plus attention et on s’informe.
3. Écouter son corps et non un dogme
Les premières années de mon véganisme, j’ai voulu m’informer et comme je suis très curieuse, j’ai voulu tester un peu tous les « mouvements » qui s’apparentent aux régimes vegan.
Il y a eu une vague de personnalités vegan qui ne sont plus vegan aujourd’hui parce qu’ils/elles ont voulu suivre un dogme quelconque à l’extrême, sans se remettre en question, sans écouter leur corps et leurs besoins.
Forcément sur le long terme, c’est pas très viable comme approche ! Et surtout ça n’a rien à voir avec le véganisme.
Donc rien d’étonnant que ces gens ne parviennent pas à conserver une alimentation végétale.
Il faut faire marcher son bon sens et ne pas tomber dans les pièges.
En gros, si quelque chose ne vous parait pas normal, alors fuyez.
Après avoir fait le tour, je suis arrivée à une alimentation plus intuitive à l’écoute de mon corps et non pas d’un dogme quelconque.
Aujourd’hui, mon alimentation végétale c’est : manger de tout, de manière variée, à satiété, suivre les saisons, ne pas me forcer à manger quelque chose car « c’est healthy » ou m’interdire une autre chose car « c’est malsain ».
Chaque aliment (végétal hein on est bien d’accord) a un rôle à jouer dans mon corps. Si mon corps le réclame c’est qu’il y a une raison.
Le véganisme c’est exclure une catégorie d’aliment (issus des animaux) mais ce n’est pas exclure une catégorie de nutriments.
4.Il n’existe pas de vegan parfait
Quand on débute dans le véganisme on se rend compte qu’il existe plein d’autres points que juste adopter une alimentation végétale.
Il y a beaucoup d’attentes, de règles, de jugements.
Et on a peur de ne pas être à la hauteur.
De ne pas être parfait.
Comme on dit « le mieux est le mortel ennemi du bien » et le piège de vouloir être parfait est que l’on risque de se décourager et d’opter l’attitude du « foutu pour foutu ».
Par exemple, si l’on « craque » entre guillemet, c’est à dire si on adopte un comportement ou si on mange un aliment qualifié de « non vegan », on peut avoir envie de se dire « bon ben tant pis, vu que j’ai déconné, je remange des animaux ».
En fait, il faut juste faire du mieux que l’on peut, ce qui n’est pas forcément le mieux du voisin ni le mieux de la communauté.
Mais il est important de ne pas se perdre et de toujours aborder son véganisme comme quelque chose de positif et non quelque chose de restrictif.
Ce qui m’amène au point suivant.
5. On n’est pas vegan avec de la volonté
Il faut vraiment aborder le véganisme comme un changement de paradigme et non comme une restriction imposée par notre volonté.
Au début, on peut penser « bon ok, je veux être vegan, je vais m’interdire tous ces aliments d’origine animale même s’ils me donnent encore super envie mais à la force de ma volonté je ne craquerais pas ».
C’est totalement la mentalité des régimes, et donc comme pour les régimes, je pense que vous avez compris que cette méthode sera vouée à l’échec.
Pour changer son alimentation, il faut vraiment comprendre pourquoi on veut la changer et il faut vraiment que notre cerveau reçoive l’information qu’en fait ce qu’on mangeait avant n’est juste plus de la nourriture consommable.
Genre ça ne vous viendrait pas à l’idée de manger votre chien ou votre chat (enfin j’espère – sinon voyez ça comme un meuble haha), donc à partir du moment où vous voyez la viande comme votre chien, vous n’aurez juste plus envie d’en manger.
Mais tout cela, ça ne se fait pas au niveau conscient, ça se fait au niveau inconscient au fur et à mesure qu’on approfondie les raisons de son changement.
Pour moi par exemple, ça a débuté pour les animaux.
J’ai regardé le documentaire Earthlings qui m’a marqué à vie par sa violence et qui a vraiment fait un électrochoc à mon cerveau sur ce plan là.
À partir de là, mon cerveau a commencé à comprendre que les animaux n’étaient en réalité pas des aliments, malgré ce qu’il avait appris depuis ma naissance.
Puis après j’ai regardé des documentaires sur la santé, et une fois de plus, mon cerveau a emmagasiné des informations qui font que désormais quand je vois un morceau de viande, mon cerveau voit vraiment un aliment impropre à la consommation.
Je m’en suis rendue compte une fois, j’ai eu une pub Facebook pour genre un restaurant à barbecue avec des énormes pièces de viande qui grillaient et rôtissaient et pendant 30 secondes j’ai pensé que c’était une pub qui dénonçait les abattoirs et la souffrance animale. Ça ne m’est pas du tout venue à l’idée spontanément que c’était une pub pour un resto et que des gens pouvaient baver devant ça !
C’est cela changer de paradigme.
Et c’est ce qui fait que quand quelqu’un te dit « Je ne sais pas comment tu fais, moi j’aime trop (au choix) : la viande, le fromage, les gâteaux, le poulet, les sushis … »
En fait, c’est très simple, une fois que tu as « hacké » ton cerveau, ces ingrédients ne seront simplement plus des aliments pour toi.
Mais dans l’histoire, la volonté ne joue aucune rôle.
6. Les gens vont arrêter de vous en parler
Au début quand on devient vegan on a l’impression que cette phase ne va jamais s’arrêter.
On a l’impression qu’on n’aura plus jamais un repas tranquille, que systématiquement quelqu’un va vous brancher sur le sujet, qu’à chaque repas, vous aurez un interrogatoire.
Alors oui, selon votre entourage, ça va durer quelques temps, on va vous poser des questions, Tata Ginette fera peut-être des remarques désobligeantes au repas de famille, vous aurez des supers blagues pourries genre : « Et le cri de la carotte ? » ou « Ah t’as amené des graines pour le repas ? »
Ou alors les faux écolo concernés par tes faux-pas :
« Et t’as pensé au soja qui détruit et nuit à l’écosystème » ou « Et tes bananes, elles ont pris l’avion » ou « Manger des plantes et des céréales c’est extrémiste, tu détruis l’emploi français » !
Bref, rassurez-vous ça passe, au bout d’un moment les gens oublient même que vous avez une alimentation différente.
Autre point qui peut vous arriver : apprendre à gérer toutes les polices : la police du sucre, la police des noix de cajou, la police de l’avocat, la police du gras, la police de l’huile de palme, etc …
C’est assez désagréable d’être sans cesse juger alors qu’on fait du mieux qu’on peut, donc mon seul conseil : ignorez ces gens-là et concentrez-vous sur vous.
Certains sont des trolls, d’autres pensent peut-être bien faire mais au final vous êtes le seul juge de vos actes et on retourne au point 4 : personne n’est pas parfait !
7. On peut aussi manger comme de la merde en étant vegan
Vegan ne veut pas dire healthy.
Au début on a l’impression de manger des trucs super sains comme si tous les produits vegan étaient forcément bons et healthy.
Mais ce n’est pas forcément le cas, vous pouvez tout à faire être vegan et vous nourrir exclusivement de « junk food », de plats préparés, de pizza, de burger, de hot-dog, de cordon bleu, de nuggets et de frites.
Maintenant tout cela existe en mode vegan ! Et même si c’est moins mauvais que les équivalents en version animale, ce n’est pas non plus l’alimentation la plus équilibrée du monde.
Après libre à chacun de choisir sa façon de se nourrir, certains décident de végétaliser leur alimentation uniquement pour des raisons éthiques de souffrances animales et ne s’intéressent pas à l’aspect santé.
D’autres sont attirés par l’alimentation végétale pour des raisons de santé et découvrent après le côté éthique.
Mais en tout cas, si vous avez peur de devenir orthorexique en étant vegan, pas de crainte vous pourrez manger de la junk food à profusion si vous le souhaitez ;-)
8. Non vous n’êtes pas le seul vegan au monde
L’homme est un animal social et quand on décide de changer de vie, on a envie de retrouver un sentiment d’appartenance.
C’est normal.
C’est pourquoi au début (et même ensuite) on peut se trouver une communauté vegan.
Déjà pour ne pas se sentir seul, puis pour partager votre quotidien, vos difficultés, vos réussites etc …
Vous pouvez le faire de plusieurs manières : rejoindre des groupes Facebook, créer un compte Instagram et suivre d’autres vegan, voire même créer un blog pour partager vos recettes.
Devenir vegan vous permettra aussi de faire un peu de ménage dans votre vie car c’est un bon radar à personnes toxiques. Tous ceux qui voudront vous rabaisser, vous démoraliser, voire vous humilier.
Ce sera donc le moment idéal pour faire les bons choix et garder seulement les personnes bienveillantes dans votre vie. C’est un des petits bonus ;-)
9. Vous allez manger beaucoup plus varié qu’avant
Avant-dernier point, le plus important peut-être si vous aimez la nourriture : en adoptant une alimentation végétale, vous allez manger beaucoup, mais alors beaucoup plus varié qu’avant.
Et du coup si vous n’aimiez pas mangé, cela risque de bien changer.
Déjà parce qu’il y a énormément d’ingrédients nouveaux à découvrir, de nouvelles épices, de nouveaux types de préparation, de nouvelles cuisines, et que si vous êtes curieux comme moi, vous allez tout vouloir goûter !!
J’adorais déjà découvrir plein de nouvelles recettes avant, mais il faut dire qu’avec la cuisine végétale, ma créativité est au max !
Mais après vous pouvez tout à fait manger des pâtes aux tomates tous les jours ou alors tourner sur 5 recettes chaque semaine.
De mon côté, je ne suis pas du tout comme ça, j’adore découvrir et tester des choses.
J’adore chercher de nouvelles inspirations chaque jour et c’est pour ça que j’ai lancé mes meal plan #MaSemaineVegan où je propose chaque vendredi 5 nouveaux plats salées inspirés des 4 coins du monde.
J’adore choisir un pays et décliner 5 plats en mode végétal comme le Liban, l’Espagne, le Japon, le Vietnam … ou alors mélanger les saveurs pour des meal plans originaux.
Et du coup ça me permet de faire profiter des gens comme vous, mais qui n’ont pas le temps de chercher l’inspiration et les recettes mais ont quand même envie de se faire plaisir et de découvrir la diversité de la cuisine végétale.
10.La phase « Fuck the world » va passer
Au début, je dirais même pendant les premières années, on est en colère … mais genre vraiment en colère …
En colère en mode Jessica Jones quoi … où t’as juste envie d’envoyer l’humanité toute entière contre un mur.
Contre les humains qui osent faire ça à des animaux Contre les états qui ont légalisé tout cela et ont tout fait pour cacher l’horrible réalité aux masses Contre la loi qui préfère condamner des associations de défenses des animaux plutôt que des bourreaux responsables de torture Contre chaque nouveau scandale, chaque nouvelle vidéo Contre les gens qui ne veulent pas ouvrir les yeux Contre notre famille qui au lieu de nous soutenir va nous juger Contre nos amis qui pour dé-dramatiser vont faire des blagues relous histoire de ne pas voir la réalité en face Contre nous même pour avoir été dupé pendant tant d’années
Puis on va apprendre à canaliser cette colère et à la transformer en des pensées et des actions positives.
Ce n’est qu’en comprenant qu’on peut avancer et ce n’est qu’en faisant des petites actions au quotidien qu’on pourra changer les choses.
Je garde espoir à chaque nouveau procès que les actes de torture seront condamnés et que les lanceurs d’alerte seront remerciés. Je garde espoir que les états vont changer (peut être par obligation avec l’échéance de plus en plus proche de la catastrophe écologique) Je garde espoir qu’à chaque nouveau scandale des gens vont se tourner vers l’alimentation végétale et faire des petits changements dans leur vie.
Une fois qu’on a compris qu’en fait les gens n’y sont pour rien, que c’est simplement leur dissonance cognitive qui les fait réagir comme ça, il n’a plus qu’à travailler chaque jour, à briser peu à peu ce mécanisme de défense que tout le monde possède.
Je ne vais pas m’étaler sur le sujet de la dissonance cognitive même si ça me passionne et que ça explique tellement de situations atroces qui se déroulent au quotidien sans que personne n’intervienne.
Aujourd’hui je suis toujours en colère bien sûr mais à un degré bien plus maîtrisé et je préfère concentrer mon énergie sur aider les gens au quotidien à réduire ou arrêter les produits animaux.
Et je me dis que chaque plat que vous faites sans animaux est une victoire :-)
Et toi, comment vois-tu le véganisme aujourd’hui ? Est-ce qu’il y a des choses que tu as réalisé le long de ta route que tu aurais aimé savoir avant ? N’hésite pas à me laisser ton avis en commentaire :)
https://www.veganfreestyle.com/wp-content/uploads/2019/08/10-choses-vegan.png10921024Edelweisshttps://www.veganfreestyle.com/wp-content/uploads/2019/02/New-Logo-vf-700.pngEdelweiss2019-08-18 20:15:432019-08-25 13:24:3710 choses que j’aurais aimé savoir avant de devenir vegan
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https://www.veganfreestyle.com/wp-content/uploads/2019/03/ma_semaine_vegan_mini.jpg10001000Loreleihttps://www.veganfreestyle.com/wp-content/uploads/2019/02/New-Logo-vf-700.pngLorelei2019-08-15 16:06:532019-08-25 10:55:07Bienvenue dans Ma Semaine Vegan – À lire avant toute chose
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